A ceux qui se chagrinent d’une tolérance soi disant perdue tout en construisant eux-mêmes les barrières.
A ceux qui créent tous les jours de nouvelles catégories de personnes pour hacher menu le corps social.
A ceux qui instrumentalisent des différences artificielles pour mieux désigner les boucs-émissaires.
A ceux qui passent leur temps à se victimiser tout en vouant aux gémonies ceux qui ne partagent pas leur « souffrance » factice.
A ceux qui médiatisent leur bannissement de pacotille tout en bannissant ceux qui n’ont que faire de leur pièce de théâtre.
Qui est intolérant ?
Il n’y a d’intolérance que de la part de ces malheureux à la recherche d’une reconnaissance qui comblerait leur vide existentiel.
Perte d’autonomie, dépendance consumériste, perte de repères historiques et culturels, oisiveté intellectuelle, apathie physique et mentale, addictions aux écrans, exposition permanente aux lavages de cerveau médiatiques, mal-bouffe, etc…
Inconsciemment ils savent… Mais au lieu de remonter ces pentes, ils se réfugient dans une surenchère égotique, à la recherche d’une identité propre qui les ferait enfin exister.
Un lent suicide est à l’œuvre mais ils préfèrent en rendre responsables les autres.
Le wokisme et la cancel culture sont une psychose qui comble le vide, qui pallie l’absence d’avenir dont des opportunistes machiavéliques les ont convaincus.
NB : Chacun vit comme il l’entend, à condition de ne pas imposer son mode de vie aux autres, de ne pas le faire avec le seul but de choquer, et a fortiori de ne rien imposer aux enfants.

















